Association des Acteurs de Développement (ADEV)

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RAPPORT DU COLLOQUE-SEMINAIRE SUR L’ARCHEONOMASTIQUE

INTRODUCTION

Ce séminaire sur l’archéonomastique a été antérieurement prévu du 17 au 19 juin 2014. Compte tenu du calendrier  académique relatif à cette période (évaluations semestrielles notamment), il a dû être reporté. Ayant conscience de l’importance de cette nouvelle science dont l’objectif primordial est de « participer à la renaissance africaine par le canal de la redécouverte de l’origine et l’identité de l’Africain » –  dit l’animateur du séminaire – le « Chancelier coordonnateur » de l’école doctorale de l’Université de Yaoundé I communément appelé « La Colline du Savoir » a reprogrammé ce séminaire auquel plus de 150 doctorants ont participé. Il s’agit des doctorants en sciences humaines sociales et éducatives (sociologie, anthropologie, psychologie, philosophie, géographie, histoire, pédagogie, didactique, etc.). Le chronogramme des activités des 3 jours de séminaire a porté sur 05  modules portant sur les origines à savoir : l’Origine du souffle, Origine du mot Afrique, Origine de l’identité, Origine du Mot et l’Origine des langues tribunitiennes. En dehors de ces 05 modules, une évaluation finale a été programmée, celle que nous effectuons au travers de ce compendium. Nous faisons dans le cadre de ce travail personnel de l’étudiant  (TPE), le compendium[1] ou le résumé de ces trois jours de séminaire c’est-à-dire l’ensemble des 05 modules.

 

 I- INTRODUCTION DU PATRIARCHE PAR LE COORDONNATEUR DE L’ECOLE DOCTORALE

C’est sous un tonnerre d’applaudissement à liaison covalente avec de l’étonnement que le Professeur Valentin NGA NDONGO, - très souvent vu comme le dieu de la sociologie camerounaise et même celle africaine dont il est le défenseur – a introduit Monsieur François Borgia EVEMBE. Parlant au nom de ce dernier, le Professeur de Classe exceptionnelle Valentin NGA NDONGO nous dit que M. Borgia EVEMBE « fait dire qu’il est un patriarche, un connaisseur, qu’il détient un savoir hors du commun […] Qu’il est un savant ». Et l’on applaudit des fois de plus, tous doctorants sourire aux lèvres attendant la prise de parole par le Patriarche quand, V. NGA NDONGO, dans un sens typiquement scientifique ajoute : « Je vous laisse le soin de découvrir par vous- mêmes ». Il laisse ainsi la possibilité première à M. EVEMBE de s’annoncer, renchérissant tout d’abord une phrase de son prédécesseur au sujet d’EINSTEIN qui est, dit-il, « un des précurseurs de la transdisciplinarité du fait de l’introduction de la relativité dans l’analyse des faits et objets scientifiques ». Les doctorants se précipitent désormais à la connaissance de ce bagage de savoirs sur les origines de tout. C’est ainsi que M. le Patriarche hors classe déplie les modules de ce « colloque-séminaire » comme il le nomme lui-même. Nous faisons dès lors, la contraction de la cinquantaine de pages (format A4) de notes que nous avons prises au cours de ce séminaire, représentant à la fois l’étudiant et le membre de l’ADEV que nous sommes (en plus des autres membres de l’ADEV aussi présents).

II-              MODULE 1 (matin 1) : L’ORIGINE DU SOUFFLE

Avant toute chose, rappelons l’esquisse de définition que le Patriarche propose à sa science et ses origines[2].

L’archéonomastique vient de deux concepts à savoir « archè » qui veut dire le rappel des choses anciennes, et « onomasticos » qui veut dire la science des noms. Il s’agit donc de la science des noms anciens, la science des origines.

Le patriarche précise alors qu’il ne s’agit pas du nominalisme qui pour Aristote est, a-t-il dit, « la science des structures que l’esprit humain met en acte lorsqu’il donne formes à la matière de la science » ou selon Platon, «  le langage que la nature relie ou oppose ». Tandis que le nominalisme renvoie les universaux au niveau d’hypostases des noms (réduisant ainsi la nature des choses puisqu’il formule des recettes pratiques), l’archéonomastique est un « système, une science de décodage en amont de tout ce qui englobe la parole », partant du principe d’après lequel les « consonnes sont des vecteurs de la construction des mots ». L’archéonomastique peut donner les raisons de l’existence de chaque voyelle. A cet effet, elle fait recours à l’anthroponomie, à la toponymie, à la théonymie, à l’hydronymie. « L’archéonomastique est au final une paléoanthropologie ». C’est « la science d’Africain d’Afrique noire pour faire renaitre l’Africain. Car on ne peut pas prospérer, être fier de nous si on ne se réapproprie pas des connaissances en tant que propriétés africaines ».

Pour l’étayer, le patriarche invite les étudiants à lire Robert CHARROUX et Moïse Léon qui ont montré qu’Adam et Eve étaient noirs.

         Après cette définition, disons d’emblée que le patriarche a averti les uns et autres doctorants que ce séminaire n’est pas un cours des religions ou sur les religions officiellement connues (christianisme, islam, franc maçonnerie, rose croix etc.). Il s’agit de la religion de la connaissance. Et, à la fin de ce colloque, on comprendra pourquoi « tout est dans tout, l’homme porte la cause des causes qui réside d’ailleurs en lui ». Car au « commencement était le verbe et le verbe est le souffle de vie, l’esprit ». Partant de plusieurs illustrations, le patriarche montre que le souffle est le commencement, l’enfant ; c’est la vie, ce qui permet de communiquer.

Partant d’Einstein et de la théorie de big-bang (lire Prigogine) qu’il explique aisément, il montre que le commencement va de l’état KMS, l’ère ou l’univers des nombres. Puisque la « renaissance de l’Afrique doit passer par la maîtrise de la science », il faut connaitre la Kâ Ba, la Kabbale ou cet univers des nombres qui couvre les 3 pierres noires de l’autel des mosquées musulmanes.

Le commencement est selon les Kabbales « l’éternité dans sa plénitude » qui se contracte (Tchim-tchum[3]) et crée une couronne appelé Ketle[4] qui est une émanation, en réalité une information. C’est l’avènement de l’ère limpide insaisissable qui donne lieu à l’AYI(N). Et c’est de cet  AYI que tout va se manifester, entrainer l’état KMS qui produira le big-bang. Dès lors, « tout est un code et l’AYI est donc le code énergétique de l’homme qui parle ». C’est l’AIU[5], qui par modification ou déplacement donne IAUA. Sachant que Y=I on a YAUA (Dieu, si on modifie le ton de la dernière lettre) ou UAYA (le fer). L’origine du souffle est donc YAUA et le code de l’homme qui parle est le fer. Nous sommes donc le souffle de l’énergie du fer.

III-           MODULE 2 (après-midi 1) : ORIGINE DU MOT AFRIQUE

Le mot « Afrique » est un toponyme. C’est le seul continent qualifié dans le monde. Son adjectif est « noire ». Car au commencement, il n’y avait que de noirs. Si l’humanité est née ici, a diversifié sa progéniture, il est évident qu’Adam et Eve étaient noirs. De l’Arabe Ifrik QUYA qui veut dire noir. Nous sommes un continent « protogone » (premier émergent). Après moult illustrations, M. EVEMBE montre qu’en partant du nom de la mère des Simiens et des singes qui faisait comme Dieu (forge, création et construction de tout, omnipotence), lequel nom était IXBAQUYALO, si l’on procède par élimination des déterminatifs (préfixes et suffixe), il reste QUYA (Noir) que nous trouvons dans Ifrik QUYA. En conclusion, la divinité est noire, au commencement étaient le Noir, l’homme noir. Il s’agit là de la redécouverte du temps alternatif. Après plusieurs exemples, l’animateur du séminaire invite à lire Jean Baptiste BASKOUDA, Kirdi est mon nom.

IV-           MODULE 3 (matin 2) : ORIGINE DE L’IDENTITE

« Chaque voyelle a une valeur transcendantale ». Telle est le propos qui a conduit M. EVEMBE à déplier les fonctions des deux principales catégories de lettres de l’alphabet français. Les voyelles, dit-il, ont toutes, « des fonctions subsumérielles » du fait qu’elles sont déplaçables à souhait, dans le temps. Les consonnes quant à elles ont une « fonction de fixation du mot » dans la mesure où elles sont « immobiles » et, si l’on veut utiliser l’archéonomastique pour découvrir la valeur d’un mot, il faut se référer aux consonnes. Par exemple, le repérage des Batanga se fera en recherchant le BTNG, le Moundang le MND. Ceci s’explique par le fait que « chaque consonne est un contexte, raison pour laquelle elle est fixe , on ne peut pas déplacer l’ère ». En modifiant les voyelles, l’on est toujours dans le contexte. Exemple BATANGA = BETENGUE. Si l’on inter-change les consonnes, on se trouve dans les ères peut-être différentes mais avec des peuples de même racine, de même source ou repère. Exemple : BAGANTE = BATANGA. Le patriarche en a fait plusieurs applications illustratives et pratiques qui lui ont permis d’arriver à la conclusion d’après laquelle l’origine de l’identité est le souffle c’est-à-dire l’AIU, le code énergétique de l’homme qui parle.

         Soulignant que ce module devrait être intitulé « l’origine de la conjugaison », comme un pédagogue de l’ère présente, (maitrisant l’approche pédagogique par compétence (APC) centrée sur l’interaction entre l’enseignant et l’apprenant), il a appelé 3 étudiants au tableau, qui eux, ont conjugué le verbe être respectivement en Ewondo, Bassa et Babadjou. Il ressort des gymnastiques archéonomastiques effectuées après la conjugaison que NARMER, tout premier dieu de l’Egypte pharaonique qui a pour synonyme MENES, en réalité MENE, porte un nom dont l’identité est africaine, Ewondo. Car MENE, patronyme de ce fondateur de l’empire égyptien, en cette langue veut dire « je suis ». C’est donc cet homme aux origines et à identité africaine qui a créé les 17 empires égyptiens, le temple de la culture mondiale que les « Leucodermes » - pour employer le concept du patriarche - ont détruit pour le transférer chez eux.

Le patriarche profite pour déplier la signification de « BAMILEKE » qui, archéonomastiquement veut dire « les miens qui ont surnagé » (fort probablement pendant le déluge) .

C’est après ceci qu’une phase de questions-réponses a été ouverte. Le patriarche de préciser que « archéonomastique est une science nouvelle, inconnue d’Europe, de l’Occident ou des pays du Nord. Elle est née au Cameroun et vient bouleverser tout l’édifice scientifique, culturel, idéologique, religieux bâti il y a longtemps et servant de soubassement intellectuel ». Une fois de plus, il invite à lire Robert CHARROUX Le livre des maîtres du monde pour tous ceux qui n’en sont pas encore convaincus. L’archéonomastique nous permet de revenir à la réalité des faits historiques et de démontrer comment les leucodermes ont toujours procédé à la manipulation de la vérité[6]. « Je ne suis ni créationniste (vitaliste), ni évolutionniste (darwiniste) ; tout est dans tout, tout a un code énergétique fixe. Il existe un temps après lequel la matière disparaît. Tout se crée à partir de l’état KMS et pour le comprendre, il faut être transdisciplinaire ». C’est sous ce propos (en réponse à la question portant sur la filiation religieuse de M. EVEMBE) que la pause de la deuxième journée est annoncée.

V-              MODULE 4 (après-midi 2) : ORIGINE DU MOT[7]

« Pour ne plus être dominé, il faut maitriser la science, laquelle nous permet de réfléchir avant d’agir ». Par cette expression sensibilisatrice qui renchérit la substance de ce qui a été dit par V. NGA NDONGO pendant les séminaires des mois de Février à Avril sur « les sciences humaines et sociales et la renaissance africaine », le Patriarche EVEMBE démontre que le « Mot » qu’il préfère écrire moth pour éviter la confusion d’avec le « mot » de la langue française, c’est l’homme. Pour le Phénicien, le moth veut dire la puanteur, ce qui est biodégradable. Chez les Maya, le Motz désigne l’amas (puanteur et désagrégation). C’est aussi la désanthropie, du fait de l’existence du code, lequel a une durée de vie.

Partant de la théorie de la capacité calorifique relative, il montre qu’on a utilisé le désoxyribose pour réduire la vie de l’homme allant de 900 ans (ère des dieux) à 100 ans (ère des hommes actuels). Moth a vécu 900 ans et il faut chercher la cause de cette longue durée de vie dans son génome.  Le Mot est donc l’ADN subissant les effets de la Mitochondrie. C’est un souffle codé avec une poudre. C’est un être-vivant biodégradable parce qu’il subit l’anthropie, c’est un homme mortel. C’est le même qui porte le nom de Motz, Moth, Mogh, man, homme, selon les cultures. C’est le WALE de l’Angleterre et du Nord Cameroun (sachant que les DOWAYO du nord, par étymologie veut dire les fils de l’homme).

Après ces propos qui marquent la fin de ce module, sous des ovations tonitruantes, « le grand-père »[8] souligne que « la renaissance de l’Afrique commence par la réappropriation de toutes les valeurs fondamentales de l’Afrique ». Et que la « seule religion qui vaille la peine c’est la vie, religion à laquelle il faut ajouter une deuxième, la vérité ». Simon, la pierre sur laquelle Dieu a bâti son Eglise était Africain car ce nom vient de SI MON[9] qui veut dire « l’enfant de la terre ». C’est ainsi que s’est achevé le deuxième jour de séminaire, ayant donné lieu à quelques prises de photos.

VI-           MODULE 5 (matin 3) : ORIGINE DES LANGUES TRIBUNITIENNES

Ce module qui a duré jusqu’aux environs de 13 heures a entrainé un back cross sur les BATANGA. Selon le Patriarche, BTNG est la souche de tout ce qui peut, qui parle, qui pense. La langue tribunitienne est la « langue de départ, qui est le socle langagier commun à deux tribus qui parlent ». La langue tribunitienne de tous ceux qui disent IA, UA par exemple est BN. On partira par exemple de ceux qui disent IAMI (chose mienne), UAMI (personne mienne) pour connaitre sa langue tribunitienne, sa langue d’origine ou son origine tout court. Après illustration de ses démonstrations, M. EVEMBE souligne que les langues tribunitiennes sont des langues de base, bien qu’il existe des dérivées provenant des conjugaisons telles que celles faites le deuxième jour du séminaire. Dès lors, le BATANGA constitue une langue tribunitienne des Batanga eux-mêmes, des Bagante et autre groupement qui ont pour code BTNG.

        Après cette semence du jour, une autre phase de questions-réponses s’ouvre. L’axe central des interrogations porte sur la scientificité de l’archéonomastique. Si la logique est dans ce qui est dit, les doctorants, après des séminaires du premier et second semestre sur les grands courants de pensées, l’éthique et déontologie de recherche, la méthodologie de recherche etc. restent inquiets quant à la « méthode non explicite » de l’archéonomastique ainsi que ses procédés de diffusion.

        Le patriarche répond à ces préoccupations :

« je sais pertinemment ce que représente cette recherche, quelque soit le cas, si je dois mourir aujourd’hui, sachez qu’il y a des personnes qui ont les prolégomènes de ces recherches et qui les continueront. Je suis à plus de deux décennies de travaux sur l’archéonomastique. Approprions-nous du savoir endogène, notre savoir. C’est à partir de là que nous nous construirons. L’Afrique est le fondement de la connaissance. Elle ne doit pas être assujettie à l’humanité, c’est elle qui commande, oriente, donne sens à cette humanité ».

Le Noir, le QUYA est la racine de l’humanité, la racine des races. C’est du Noir que se créent les autres races, les autres couleurs. Jamais, la combinaison des couleurs différentes de la noire ne pourra donner la couleur noire. Par contre, c’est de la modification de l’ADN du Noir qu’existent les autres races. L’on comprend pourquoi le Patriarche a dit d’entrée de jeu que « l’archéonomastique est la science d’Africain d’Afrique noire pour faire renaitre l’Africain ». Il est ovationné davantage encore et la pause en vue de la préparation des notes de résumé du séminaire est annoncée.

 

CONCLUSION

En définitive, ce séminaire nous a été, nous est et nous sera d’une importance indéniable dans la mesure où, étant l’un des fondements de la redécouverte de l’identité africaine, ses origines et son originalité, l’archéonomastique nous aide à promouvoir l’appropriation africaine de sa grandeur-nature, sa culture perdue, ses richesses ; à promouvoir la renaissance de l’Afrique, l’amour et la maitrise  de la science et ses enjeux,  à promouvoir la transdisciplinarité. Il ne relève finalement d’aucun doute qu’au vu de ce que nous avons appris, observé ; même « charmé » par toute force et forme d’ingratitude, grand-père, papa, monsieur le patriarche François Borgia EVEMBE est un savant. Non seulement par la quantité de connaissances ou encore leur qualité, mais aussi et surtout par l’art de les distiller aisément, maîtrisant les règles durkheimiennes d’administration des preuves et d’explications facilitant la compréhension. Si l’ignorance préalable de cette science par les étudiants et la courte durée du temps imparti au séminaire pour comprendre une œuvre effectuée pendant si longtemps[10] n’ont pas permis à certains de mieux s’en imprégner, il reste que cette science est utile pour l’Africain à la redécouverte de ses origines authentiques, à sa grandeur. Bien qu’elle soit encore à la phase de « falsifiabilité », il faut tirer un grand coup de chapeau au porteur de ce projet, l’en féliciter et s’associer afin de participer à sa construction et diffusion comme science authen



[1] Ce rapport de séminaire qui porte le nom d’un compendium a été sélectionné et retenu sur le plan de la forme et du fonds comme l’un des meilleurs exposés du séminaire(appel-confirmation du patriarche par NGUEULIEU, le lundi 04/08/2014 à 08h14, 3 min 40 s). C’est pourquoi l’ADEV, dont le membre que nous sommes et délégué des sociologues doctorants, a demandé à M. EVEMBE une autorisation de diffusion. Un rapport plus scientifique est en cours d’élaboration par un comité composé des doctorants retenus, du Coordonnateur de l’Ecole doctorale et du Patriarche-Savant.

[2] Cette esquisse de définition, le patriarche l’a proposée à la fin du premier module, soulignant qu’il aurait dû le faire au début du séminaire. C’est pourquoi nous la mettons ici, à sa place réelle.

[3] Nous écrivons « Tchim-tchum » tel que le Patriarche l’a prononcé et doutons de cette orthographe.

[4] Même observation.

[5] Lire lettre après lettre sachant que U=ou.

[6] Le patriarche invite tout étudiant voulant assez de preuve de venir au dernier jour de séminaire muni de la bible, version Jérusalem où il existe des notes de bas de page expliquant les raisons et contextes de certaines modifications (manipulations).

[7] Lire [mot] en prononçant le « t » puisqu’il est différent de ‘mot », employé dans la langue française.

[8] Il se laisse appeler ainsi, sachant qu’à 75 ans, son âge, il le mérite puisque dans la salle il y a ses petits-fils (doctorants de moins de 30 ans au rang desquels nous-mêmes).

[9] Lire [Sí mon] : le « on » se prononçant avec un « o » engorgé et « n » encore.

[10] Il est vraiment impossible de résumer 20 années de recherche en 3 jours et de satisfaire totalement les participants du séminaire qui, chercheurs, ont toujours des questions à poser et à se poser.

Elias Perrier NGUEULIEU

Doctorant en Sociologie/Rpt ADEV



05/08/2014

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